En salle

Once Were Brothers: Robbie Robertson and The Band

28 septembre 2019

Semaine 39
du 27 septembre au 3 octobre 2019

RÉSUMÉ SUCCINCT
Un documentaire en forme de confession sur les débuts d’un des plus importants groupes de la scène musicale populaire, The Band. Avec, entre autres, Martin Scorsese, Bruce Springsteen, Eric Clapton et Van Morrison.

PRIMEUR
< SANS
COMMENTAIRES
>

FICHE TECHNIQUE
Sortie
Vendredi 27 septembre 2019

Réal.
Daniel Roher

Genre(s)
Documentaire

Origine(s)
Canada

États-Unis

Année : 2019 – Durée : 1 h 40

Langue(s)
V.o. : anglais

Once Were Brothers:
Robbie Robertson and the Band

Dist. @
Cineplex.com

[ Magnolia Pictures ]

Classement
Tous publics

En salle(s) @
Cineplex

Pipe Dreams

Semaine 39
du 27 septembre au 3 octobre 2019

 RÉSUMÉ SUCCINCT
Cinq jeunes organistes participent au prestigieux concours international d’orgue du Canada (CIOC). Qui maîtrisera le « roi des instruments » et en sortira victorieux lors de la finale dans la basilique Notre-Dame de Montréal ?

PRIMEUR
< SANS
COMMENTAIRES
>

FICHE TECHNIQUE
Sortie
Vendredi 27 septembre 2019

Réal.
Stacey Tenenbaum

Genre(s)
Documentaire

Origine(s)
Canada

Année : 2019 – Durée : 1 h 18

Langue(s)
V.o. : multilingue; s.-t.a. ou s.-t.f.

Jeux d’orgue

Dist. @
[ Northern Banner ]

Classement
NC
[ Non classé ]

En salle(s) @
Cinéma du Musée

Syeraa Narasimha Reddy

Semaine 39
du 27 septembre au 3 octobre 2019

RÉSUMÉ SUCCINCT
Le récit épique du héros Uyyalawada Narasimha Reddy, précurseur de la lutte contre la British East India Company, au cours des années 1880.

PRIMEUR
< SANS
COMMENTAIRES
>

FICHE TECHNIQUE
Sortie
Mercredi 2 octobre 2019

Réal.
Surrender Reddy

Genre(s)
Drame historique

Origine(s)
Inde

Année : 2019 – Durée : 2 h 50

Langue(s)
V.o. : multilingue; s.-t.a.

Sye Raa

Dist. @
A-Z Films

Classement
Interdit aux moins de 13 ans
[ Violence ]

En salle(s) @
Cineplex

Vivre à 100 milles à l’heure

Semaine 39
du 27 septembre au 3 octobre 2019

 RÉSUMÉ SUCCINCT
Louis, Éric et Daniel sont amis depuis leurs années d’études à l’école secondaire de Charlesbourg. Jeunes délinquants peu motivés par leurs cours, les trois compères ont vite découvert le moyen de s’amuser et surtout de faire de l’argent en vendant de la drogue aux autres élèves.

PRIMEUR
CRITIQUE >

Luc Chaput

★★★ ½

Amis pour la vie et la mort

Trois adolescents entrent dans un hôtel huppé du centre-ville de Québec pour passer un après-midi autour de la piscine. Ils montrent qu’ils ont de l’argent à ces gens de la Haute. Cette chronique en partie autobiographique de Louis Bélanger couvre une quinzaine d’années de la vie de trois jeunes de la banlieue, Louis, Daniel et Éric qui prennent leurs places sans ces écoles, lieux de loisir et connaissent amour et déceptions.

De nombreuses anecdotes sont revues par le narrateur, alter égo du réalisateur qui laisse une belle place à ses amis dans les coups de pouce de l’intrigue au rythme enlevé. Le personnage de son frère aîné Guy, plus tard harmoniciste célèbre, apparaît quelquefois comme une figure d’autorité. Des événements historiques et musicaux servent de balises rapides dans cette reconstitution qui semble exacte. Certains épisodes semblent tirés par les cheveux et même invraisemblables.

La drogue, la petite et plus grande criminalité sont montrées dans leurs attraits et leurs conséquences plus ardues et même fatales. Les nombreux interprètes qui se remplacent aux passages obligés de l’enfance, l’adolescence à l’âge adulte sont bien dirigés par le réalisateur-scénariste. Celui-ci intègre sa passion pour la photographie argentique en noir et blanc à certains des moments de ce parcours où la nostalgie a un goût doux-amer.

De nombreuses anecdotes sont revues par le narrateur, alter égo du réalisateur qui laisse une belle place à ses amis dans les coups de pouce de l’intrigue au rythme enlevé.

FICHE TECHNIQUE
Sortie
Vendredi 27 septembre 2019

Réal.
Louis Bélanger

Genre(s)
Chronique

Origine(s)
Canada [Québec]

Année : 2019 – Durée : 1 h 44

Langue(s)
V.o. : français

Vivre à 100 milles à l’heure

Dist. @
Les Films Opale

Classement
Interdit aux moins de 13 ans

En salle(s) @
Cinéma Beaubien
Cineplex

MISE AUX POINTS
★★★★★ Exceptionnel.  ★★★★ Très Bon.  ★★★ Bon.
★★ Moyen.   Mauvais. 0 Nul.
½ [ Entre-deux-cotes ]

War

Semaine 39
du 27 septembre au 3 octobre 2019

 

RÉSUMÉ SUCCINCT
Pour le plaisir des fans de films d’action, deux super-héros bollywoodiens, Hrithik Roshan et Tiger Shroff. L’un contre l’autre dans une suite de cascades et de combats rocambolesques à couper le souffle. Que dire de plus? Bien entendu, avec quelques inserts musicaux et chorégraphiés.

PRIMEUR
< SANS
COMMENTAIRES
>

FICHE TECHNIQUE
Sortie
Mercredi 2 octobre 2019

Réal.
Siddharth Anand

Genre(s)
Action

Origine(s)
Inde

Année : 2019 – Durée : 2 h 30

Langue(s)
V.o. : hindi; s.-t.a.

Yuddh

Dist. @
Imtiaz Mastan

Classement
Interdit aux moins de 13 ans
[ Violence ]

En salle(s) @
Cineplex

Zeroville

Semaine 39
du 27 septembre au 3 octobre 2019

 

RÉSUMÉ SUCCINCT
Jérôme Vikar, motard et anticonformiste, décide de se rendre à Hollywood pour tenter une carrière dans le monde du cinéma. À peine arrivé sur Hollywood Boulevard, il se rend compte que le 7e art n’est plus cet univers mythique aux possibilités infinies, mais un commerce et rien de plus. Les nouveaux venus dans le monde cinématographique ne sont plus que des incultes et des commerçants vivant dans une mascarade gorgée d’alcool, de sexe et de débauche.

PRIMEUR
< SANS
COMMENTAIRES
>

FICHE TECHNIQUE
Sortie
Vendredi 27 septembre 2019

Réal.
James Franco

Genre(s)
Drame

Origine(s)
États-Unis

Année : 2018 – Durée : 1 h 36

Langue(s)
V.o. : anglais

Zeroville

Dist. @
Cineplex.com
[ myCinema / Najra Kudelski Group ]

Classement
Interdit aux moins de 13 ans
[ Langage vulgaire ]

En salle(s) @
Cineplex
[ Guzzo ]

Ad Astra

19 septembre 2019

Semaine 38
du 20 au 26 septembre 2019

 

RÉSUMÉ SUCCINCT
L’astronaute Roy McBride reçoit la mission secrète de se rendre sur une base cosmique éloignée pour envoyer un message radio à son père, Clifford, officiellement disparu lors d’une expédition scientifique depuis plus de 16 ans.

< PRIMEUR >
Le Film
de la semaine
ÉLIE CASTIEL

★★★★ 

Le cordon ombilical spatial de la filiation

Le nouveau film de James Gray est triste et poignant en même temps que vibrant et impressionnant. La première partie, la plus longue, est surtout dense en effets sonores et visuels (de nos jours, des mains expertes y travaillent – donc plus rien de surprenant) qui rappellent ces productions du genre maintes fois vues et revues.

Pour certains spectateurs, ces séquences à l’intérieur du vaisseau spatial peuvent ennuyer et trouveront le temps long. Même si à bien observer, le travail chromatique, les pas lents dans la direction photo et le positionnement des personnages rendent l’expérience surréelle. Comme s’il s’agissait de pénétrer dans une enceinte interdite.

C’est à partir du moment où l’astronaute Roy McBride (Brad Pitt remarquable dans un de ses rôles les plus dignes et sensibles) rencontre son père depuis longtemps disparu (apparemment vivant) que le film prend vraiment son envol et aborde le véritable sujet, les liens qui nous unissent ou parfois nous séparent, comme dans les films précédents de Gray.

Avant tout, cette rencontre prouve jusqu’à quel point le cinéaste est par-dessus tout un humaniste, quasi-philosophe, tant il tient, quels que soient les lieux, à nouer avec la notion d’affect chez les êtres. Entre Roy, le fils, et Clifford McBride (sensible Tommy Lee Jones), un échange froid comme s’ils ne s’étaient jamais séparés. Mais par moments, quelques brefs gros plans sur Pitt montrent son visage comme s’il regardait le ciel (son père qui est placé à un étage plus haut) posant un regard de nouveau-né. Tout est dans l’expression de ses yeux.

Ad Astra (quel beau titre en Latin qui immortalise la proposition) se joint à la thématique abordé par James Gray dans son corpus précédent, toujours aussi proche des individus et messager d’un monde plus accueillant. Et qu’importe les invraisemblances que le film peut étaler sans vraiment le vouloir… car le cinéma est une acte libre qui peut tout inventer.

Cet échange entre la naissance et la découverte d’un parent ne serait-il pas un acte courageux de provocation de la part du cinéaste? Ici, Roy s’identifie au père, et au même temps annonce que le cordon ombilical spatial qui les lie et censé les joindre pour retourner sur Terre sera coupé. Magnifique métaphore des liens familiaux, mais dans le même temps, une réflexion sur le cinéma qui peut se permettre des actes inhabituels du moment où ils sont exprimés avec tact et particulièrement réflexion.

Le film aurait pu s’arrêter là. Il n’en demeure pas moins qu’Ad Astra (quel beau titre en Latin qui immortalise la proposition) se joint à la thématique abordé par James Gray dans son corpus précédent, toujours aussi proche des individus et messager d’un monde plus accueillant. Et qu’importe les invraisemblances que le film peut étaler sans vraiment le vouloir… car le cinéma est une acte libre qui peut tout inventer.

F I C H E
TECHNIQUE

Sortie
Vendredi 20 septembre 2019

Réal.
James Gray

Genre(s)
Drame de science-fiction

Origine(s)
États-Unis / Brésil

Chine

Année : 2019 – Durée : 2 h 03

Langue(s)
V.o. : anglais / Version française

Vers les étoiles

Dist. @
20th Century Fox

Classement
Tous publics
[ Déconseillé aux jeunes enfants ]

En salle(s) @
Cineplex

MISE AUX POINTS
★★★★★ Exceptionnel.  ★★★★ Très Bon.  ★★★ Bon.
★★ Moyen.   Mauvais. 0 Nul.
½ [ Entre-deux-cotes ]

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