25 décembre 2017
Cela fera 40 ans ce 25 décembre qu’est décédé Charlie Chaplin [1], plein auteur de 66 films tournés entre 1914 et 1966 [2]. Profitons-en pour rappeler brièvement la carrière de cet immense artiste, doublé d’un progressiste.
Né à Londres le 16 avril 1889, le petit Charles connaît une enfance indigente. Charles père, absent et alcoolique, trépasse en 1901; la fragile Hannah, de son côté, est souvent admise à l’asile; le frère aîné, quant à lui, est dans la marine de plaisance [3]. Comme chez Charles Dickens – duquel le résilient Chaplin allait conserver Oliver Twist comme livre de chevet toute sa vie durant –, les douloureux souvenirs de jeunesse imprégneront l’œuvre chaplinienne.

Charlie Chaplin
24 décembre 2017

La soprano Lyne Fortin
Depuis deux décennies, c’est devenu une digne tradition. Et la 20e édition de cet Hommage à Vienne, l’une des grandes villes du Danube, réserve des surprises, dont la présence de la soprano québécoise de réputation internationale Lyne Fortin. Sans trop dévoiler du programme, elle interprétera Mein lieber Schatz de l’opérette Comtesse Mariza, sur une musique du célèbre compositeur hongrois Emmerich Kálmán. Suite
On aurait voulu tout aimer de cette édition 2017 de l’incontournable Cirque du Soleil. Si Crystal, l’héroïne, nous rappelle en quelque sorte une Alice aux pays des merveilles des temps modernes, force est de souligner que Crystal, le spectacle, nous désoriente, du moins à moitié.
Tout d’abord une première partie qui ne cesse de chercher sa propre voie, perdue entre les apparats du cirque et les codes du spectacle sur glace. Numéros à piège, cela devient une évidence; la stratégie de la mise en scène consiste, pour atténuer un propos limité, à plaire à la galerie; justement, en imposant un interminable jeu de hockey lourdement chorégraphié, brisant avec le côté purement artistique du spectacle, Crystal, dans cette partie, laisse indifférent. Les autres numéros, convenables.

© Cirque du Soleil
21 décembre 2017
AVIS AUX CINÉPHILES
Il arrive parfois que certains films ne soient pas présentés toute la semaine, particulièrement dans les salles indépendantes. Consultez les horaires quotidiens, ceux-ci pouvant changer d’un jour à l’autre.
Dû à des facteurs hors de notre contrôle et au peu de collaborations, les textes critiques pourraient enregister des retards. Néanmoins, nous déployons tous nos efforts pour éviter cette situation.
Veuillez noter que certaines bandes-annonces de films étrangers ne sont pas sous-titrées.
CALL ME BY YOUR NAME



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15 décembre 2017
AVIS AUX CINÉPHILES
Il arrive parfois que certains films ne soient pas présentés toute la semaine, particulièrement dans les salles indépendantes. Consultez les horaires quotidiens, ceux-ci pouvant changer d’un jour à l’autre.
Dû à des facteurs hors de notre contrôle et au peu de collaborations, les textes critiques pourraient enregister des retards. Néanmoins, nous déployons tous nos efforts pour éviter cette situation.
Veuillez noter que certaines bandes-annonces de films étrangers ne sont pas sous-titrées.
THE SHAPE OF WATER7 décembre 2017
AVIS AUX CINÉPHILES
Il arrive parfois que certains films ne soient pas présentés toute la semaine, particulièrement dans les salles indépendantes. Consultez les horaires quotidiens, ceux-ci pouvant changer d’un jour à l’autre.
Dû à des facteurs hors de notre contrôle et au peu de collaborations, les textes critiques pourraient enregister des retards. Néanmoins, nous déployons tous nos efforts pour éviter cette situation.
Veuillez noter que certaines bandes-annonces de films étrangers ne sont pas sous-titrées.
THE DISASTER ARTISTL’année n’est pas encore finie, et elle pourrait nous réserver bien des surprises. Au pupitre, cette année, le charmant René Simard, ce qui rime avec chorégraphie et sens du spectacle. Rires, quelques émotions, moins de turbulences, auteurs des textes conscients que si l’année a été aussi sournoise que les précédentes, les évènements n’étaient pas particulièrement adaptables à la scène satirique.
Oui, bien entendu, le maire sortant était de la partie, comme il se doit, la télévision en prend pour son rhume, Julie Snyder (la réplique), quoiqu’on en dise, est une vedette attitrée de la franchise « revue et corrigé ».

© François Laplante Delagrave
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