24 décembre 2017
La soprano Lyne Fortin
Depuis deux décennies, c’est devenu une digne tradition. Et la 20e édition de cet Hommage à Vienne, l’une des grandes villes du Danube, réserve des surprises, dont la présence de la soprano québécoise de réputation internationale Lyne Fortin. Sans trop dévoiler du programme, elle interprétera Mein lieber Schatz de l’opérette Comtesse Mariza, sur une musique du célèbre compositeur hongrois Emmerich Kálmán. Suite
On aurait voulu tout aimer de cette édition 2017 de l’incontournable Cirque du Soleil. Si Crystal, l’héroïne, nous rappelle en quelque sorte une Alice aux pays des merveilles des temps modernes, force est de souligner que Crystal, le spectacle, nous désoriente, du moins à moitié.
Tout d’abord une première partie qui ne cesse de chercher sa propre voie, perdue entre les apparats du cirque et les codes du spectacle sur glace. Numéros à piège, cela devient une évidence; la stratégie de la mise en scène consiste, pour atténuer un propos limité, à plaire à la galerie; justement, en imposant un interminable jeu de hockey lourdement chorégraphié, brisant avec le côté purement artistique du spectacle, Crystal, dans cette partie, laisse indifférent. Les autres numéros, convenables.
© Cirque du Soleil
21 décembre 2017
AVIS AUX CINÉPHILES
Il arrive parfois que certains films ne soient pas présentés toute la semaine, particulièrement dans les salles indépendantes. Consultez les horaires quotidiens, ceux-ci pouvant changer d’un jour à l’autre.
Dû à des facteurs hors de notre contrôle et au peu de collaborations, les textes critiques pourraient enregister des retards. Néanmoins, nous déployons tous nos efforts pour éviter cette situation.
Veuillez noter que certaines bandes-annonces de films étrangers ne sont pas sous-titrées.
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15 décembre 2017
AVIS AUX CINÉPHILES
Il arrive parfois que certains films ne soient pas présentés toute la semaine, particulièrement dans les salles indépendantes. Consultez les horaires quotidiens, ceux-ci pouvant changer d’un jour à l’autre.
Dû à des facteurs hors de notre contrôle et au peu de collaborations, les textes critiques pourraient enregister des retards. Néanmoins, nous déployons tous nos efforts pour éviter cette situation.
Veuillez noter que certaines bandes-annonces de films étrangers ne sont pas sous-titrées.
7 décembre 2017
AVIS AUX CINÉPHILES
Il arrive parfois que certains films ne soient pas présentés toute la semaine, particulièrement dans les salles indépendantes. Consultez les horaires quotidiens, ceux-ci pouvant changer d’un jour à l’autre.
Dû à des facteurs hors de notre contrôle et au peu de collaborations, les textes critiques pourraient enregister des retards. Néanmoins, nous déployons tous nos efforts pour éviter cette situation.
Veuillez noter que certaines bandes-annonces de films étrangers ne sont pas sous-titrées.
L’année n’est pas encore finie, et elle pourrait nous réserver bien des surprises. Au pupitre, cette année, le charmant René Simard, ce qui rime avec chorégraphie et sens du spectacle. Rires, quelques émotions, moins de turbulences, auteurs des textes conscients que si l’année a été aussi sournoise que les précédentes, les évènements n’étaient pas particulièrement adaptables à la scène satirique.
Oui, bien entendu, le maire sortant était de la partie, comme il se doit, la télévision en prend pour son rhume, Julie Snyder (la réplique), quoiqu’on en dise, est une vedette attitrée de la franchise « revue et corrigé ».
© François Laplante Delagrave
Hommage au légendaire Leonard Cohen, Dance Me n’est que presque cela. Dès les premières secondes du succès Dance Me to the End of Love tant attendu et à peine quelques pas de danse formulés, les spectateurs s’expriment avec un tonnerre d’applaudissements bien nourris. Salle comble, faut-il souligner. Mais c’est à se demander si la majorité d’entre eux n’étaient là que pour le chanteur, les danseurs ou les deux.
Toujours est-il qu’on sentait de la part des artistes sur scène qu’il s’agissait d’un excellent exercice de réchauffement bien orchestré, signé par trois chorégraphes réputés à travers le monde, le Grec Andonis Foniadakis, la Belgo-colombienne Annabelle Lopez Ochoa et le Britannique Ihsan Rustem. Encore une fois, bravo pour la notion de diversité.
© Thierry du Bois / Cosmos Image
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