16 septembre 2019
D’emblée, le décor s’impose avec un raffinement qui donne à l’âme bourgeoise russe de l’époque ses plus beaux atouts. Scène carrée, tel un livre d’images, et qui, par magie, s’ouvre comme des rideaux sur toute la largeur de l’espace en mouvements lents, presque sensuels, afin que le récit puisse enfin commencer. Et puis, une scène de la vie rurale à l’entrée de la maison d’un village, quelque part dans la Russie tsarine.
Une histoire d’amour non partagé, de regrets, une quête du rachat, de la prise de conscience (pour Onéguine) que le temps passe malheureusement et avec lui, la vie. Une fin dramatique comme dans plusieurs histoires d’amour. Trame narrative simple pour un opéra grandiose, parmi les grands favoris du répertoire classique.

Étienne Dupuis (Onéguine) et Nicole Car (Tatiana) – © Yves Renaud
12 septembre 2019
A V I S
. Les textes sont publiés le plus rapidement possible au fur et à mesure que les films sont vus.
. Veuillez noter que certaines bandes-annonces de films étrangers ne sont pas sous-titrées.
. Seuls les films diffusés tous les jours de la semaine, au minimum une seule fois, sont répertoriés. Pour les autres films, Séquences se réserve le droit d’en parler ou non dans la section « En lumière ».
[ Cliquez sur chaque titre pour accéder à la fiche détaillée ]
RÉSUMÉ SUCCINCT
Aux prises avec leur propre «YidLife Crisis», deux Montréalais reviennent dans leur ville d’origine pour découvrir leur héritage et l’empreinte de la culture juive sur l’histoire de Montréal. Suite
2025 © SÉQUENCES - La revue de cinéma - Tous droits réservés.