4 décembre 2014
Genre : Comédie romantique | Origine : Philippines – Année : 2014 – Durée : 1 h 55 – Réal. : Mae Czarina Cruz – Int. : Kim Chiu, Ai-Ai de las Alas, Xian Lim, Daniel Matsunaga, Benjie Paras, Tony Mabesa – Dist. / Contact : A-Z Films | Horaires / Versions : Cineplex
CLASSIFICATION
En attente de classement
EN QUELQUES MOTS
SANS COMMENTAIRES / Film non vu
Genre : Drame | Origine : États-Unis / France / République tchèque – Année : 2014 – Durée : 1 h 50 – Réal. : Susanne Bier – Int. : Bradley Cooper, Jennifer Lawrence, Sam Reid, Toby Jones, Rhys Ifans, Ana Ularu – Dist. / Contact : Séville | Horaires / Versions : Cineplex
CLASSIFICATION
Interdit aux moins de 13 ans
EN QUELQUES MOTS
Texte : Élie Castiel
Cote : ★★★
Ça commence plutôt bien et nous nous impliquons immédiatement. Les premiers plans évoquent l’atmosphère de ces films romantiques d’autrefois incarnés par des héros viriles et des femmes libres de leurs actes, tout en conservant leur féminité.
Sur ce point, Bradley Cooper, dans un rôle atypique, et Jennifer Lawrence, ici femme fatale dû aux circonstances, n’ont absolument rien à se reprocher. Tous les deux sont épatants et vivent intensément les personnages qu’ils incarnent. Serena appartient néanmoins à ce genre de films qui nous déçoit après la projection, mais demeure dans notre mémoire, justement à cause de ses faiblesses.
Des lacunes, il y en a : trop de personnages peu développés, soudains changements de ton, goût vers l’excessif, passé suggéré plutôt que montré, questions sans réponse. Mais à bien y réfléchir, on s’attache à ces individus pris dans la tourmente du rêve capitaliste et ses excès. Susanne Bier nous avait habitués à mieux. Dans une atmosphère d’Amérique profonde du temps de la Grande Dépression de 1929, elle se retrouve en terrain inconnu et ne sait trop sur quel pied danser. Elle possède cependant une idée du cinéma romantique où les passions sont vécues à haute tension et les amours ne finissent pas nécessairement comme elles le devraient. À voir (pour ce qu’on appelle en anglais) ses incontestables production values.
MISE AUX POINTS
★★★★★ (Exceptionnel) ★★★★ (Très Bon) ★★★ (Bon) ★★ (Moyen) ★ (Mauvais) 1/2 (Entre-deux-cotes) – LES COTES REFLÈTENT UNIQUEMENT L’AVIS DES SIGNATAIRES.
EN QUELQUES MOTS
Texte : Élie Castiel
Cote : ★★★ 1/2
Auteur de l’intéressant Gaudi, le mystère de la Sagrada Familia (Sagrada – el misteri de la creació, 2012), Stefan Haupt opte cette fois-ci pour un thème à caractère homosexuel, en l’occurrence l’histoire du mouvement gai suisse dans les années 50. Bien que légales, les pratiques homosexuelles dans ce pays étaient, à cette époque, très mal vues par le public en général.
EN QUELQUES MOTS
Texte : Luc Chaput
Cote : ★★★ 1/2
La ruée vers l’Ouest fut plus exactement l’avancée considérant la vitesse à laquelle cette pérégrination s’effectua pour la plupart. Elle fut mythifiée dans des chroniques, des dime novels et des films dont un de John Ford, Wagon Master. La place des femmes y fut souvent réduite sauf comme personnage secondaire et aimant.
Genre : Action / Comédie | Origine : Japon – Année : 2014 – Durée : 1 h 43 – Réal. : Ken Ochiai – Int. : Seizô Fukumoto, Chihiro Yamamoto, Masashi Goda, Hirotarô Honda, Hisako Manda, Hana Ebise – Dist. / Contact : Cineplex | Horaires / Versions : Cineplex
CLASSIFICATION
En attente de classement
EN QUELQUES MOTS
SANS COMMENTAIRES / Film non vu
27 novembre 2014
EN QUELQUES MOTS
Texte : Élie Castiel
Cote : ★★★ 1/2
S’agit-il vraiment d’un film au sens propre, d’une fiction typique, construite horizontalement, sans ambages, fidèle à des codes bien établis ? De par sa durée inhabituelle et son aspect bigarré, cette adaptation du roman de Georges Simenon est une sorte d’ébauche, de work-in-progress achevé avec une rapidité curieusement troublante.
EN QUELQUES MOTS
Texte : Charles-Henri Ramond
Note : ★★★★
Dans les bureaux exigus des conseillers d’orientation d’une institution scolaire non nommée, plusieurs jeunes font le point avec les intervenants sur leur situation. La caméra est plantée devant eux, ne les fixe pas droit dans les yeux pour ne pas les intimider, mais les cadre suffisamment de face pour que l’on observe attentivement les moindres signes de leur réaction face aux discours des adultes.
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