19 août 2016
LES INNOCENTES13 août 2016
FLORENCE FOSTER JENKINS9 août 2016

Présence autochtone 2016 – Soirée de remise des prix du 8 août 2016 > Luc Chaput (Séquences) à droite et André Dudemaine à gauche (PHOTO : Charles-Henri Ramond)
C’est hier soir à la salle Jean-Claude Lauzon de l’UQÀM qu’étaient décernées les récompenses de la 26e édition du Festival Présence Autochtone. Comme par le passé, un jury Séquences, composé cette année de Luc Chaput et Charles-Henri Ramond, a remis ses prix dans la catégorie documentaires.
Le Prix Séquences est remis à Kome Urue – Los Niños de la selva du réalisateur colombien Carlos Felipe Montoya.
«Les imperceptibles liens qui unissent les hommes à la forêt dans une relation fusionnelle et l’invisible force spirituelle qui naît de de cette symbiose habitent chaque moment de ce film sensible, soutenu par une photographie attentive à l’âme des choses et à la beauté des visages.»
Une mention spéciale est décernée à Hija de la laguna du cinéaste péruvien Ernesto Cabellos Damiàn
«En donnant résonance à la voix citoyenne qui défend l’intégrité des espaces naturels contre l’avidité des transnationales aurifères, un film est devenu lui-même un phénomène de société, appelant au soulèvement des consciences contre les projets pharaoniques destructeurs.»
L’intégralité des prix de cette édition 2016 se trouvent ici : http://www.presenceautochtone.ca/
[La Rédaction]
7 août 2016
Pour la 26e fois, le Festival Présence autochtone a lieu à Montréal. Ayant commencé ses activités autour de la Journée des premières nations le 21 juin, il connaît depuis quelques années sa période la plus faste et festive en ce début d’août marquée par des activités extérieures Place des festivals et comme d’habitude un important volet cinéma.

Mekko
6 août 2016
INDIGNATION30 juillet 2016
CLOSET MONSTER27 juillet 2016
Soyons francs et donnons au concepteur scénique le crédit qu’il mérite, des colonnes de chaque côté de la scène et une porte centrale au fond, imposante, servant de lieux différents où se déroule l’action ; des éléments qui rappellent l’Empire romain, L’ancien, celui d’un certain cynisme, mais en même temps ayant un rapport à la mort totalement désabusé. Le Roméo et Juliette de Serge Denoncourt, tel qu’imaginé par la plume de Normand Chaurette, se passe au début des années 30, à Vérone. Quelques années plus tard, le fascisme s’impose aveuglément.
Bonne initiative, mais qui ne convainc guère, du moins ce soir de Première médiatique. Serait-il la distance voulue de la mise en scène avec son sujet, une tragédie/drame sentimental maintes et une fois joué(e) sur la scène et au cinéma ? La question qu’on se posait dès l’annonce du spectacle était de savoir qu’aurait pu pousser le TNM à collaborer avec Juste pour rire avec une telle pièce ?

Philippe Thibault-Denis et Marianne Fortier / Roméo et Juliette (PHOTO : © Yves Renaud)
D’où le compromis de la première partie, axée beaucoup plus sur la comédie grand public que sur les premiers signes d’une tragédie annoncée. La parure masculine qu’on impose à Benoît McGinnis (Mercutio) paraît bien inutile. A-t-on besoin d’aller si loin pour avouer un sentiment homosexuel ?
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