21 novembre 2014
Sur scène, deux comédiens, deux âmes en rupture, amis de longue date, presque frères, qui obéissent docilement aux changements qu’impose le temps. Un dialogue qui les réunit et qui les oppose, des monologues déchirants pour l’un comme pour l’autre.
17 novembre 2014
Le jeune Gascon d’Artagnan ne rêve que d’une chose : quitter sa province natale et entrer au service du roi, chez les mousquetaires. La suite, on la connaît par cœur après avoir lu Les Trois Mousquetaires, le roman culte d’Alexandre Dumas, maintes fois adapté à l’écran.
16 novembre 2014
Contrairement aux ressortisants Français (et Juifs, selon le pays) du Maroc et de la Tunisie, deux autres territoires maghrébins, ceux de l’Algérie, les ainsi nommés Pieds Noirs ne cessent de remettre en question la rupture algérienne. Comme s’il s’agissait d’exorciser un passé colonial qui n’ose dire son nom.
Pièce-péplum historique, frôlant le burlesque à grandes doses d’adrénaline et de provocations, utilisant l’espace théâtral comme une ancienne arène romaine où le spectacle de la mort n’est que banalité. Et puis, des personnages, des empereurs, de nombreux monarques, tous issus de la Rome antique, la barbare, celle des dirigeants qui se succèdent, tous issus d’une époque située à presque deux siècles après l’Ère chrétienne. Comme lieu, un véritable champ de bataille où les joutes verbales monologuales se joignent aux voix des sujets dont le sort dépend des dictateurs en place. Suite
15 novembre 2014
Texte : Luc Chaput
Au cours de la dernière année, le complexe muséal Espace pour la vie a décliné plusieurs manifestations sur la notion du temps, soit prendre son temps à humer des fleurs ou admirer des animaux et en rendant plus visible leurs paresseux du Biodôme par exemple ou suscitant des spectacles musicaux au Jardin botanique. Pour continuer en beauté ce cycle, le Planétarium présente deux nouveaux spectacles dans leurs deux théâtre immersifs à 360 degrés.
10 novembre 2014
Texte : Marina Rafenberg
À en juger par la qualité des films visionnés, le 55e festival de Thessalonique qui s’est achevé hier après dix jours de projections, continue de surprendre par sa riche programmation réunissant des films d’auteur de qualité. Sous la direction de Dimitris Eipides, l’avenir du festival reste cependant incertain en raison de la crise économique que traverse le pays mais aussi dû à la suppression de fonds européens qui soutenaient jusque-là son organisation. Suite
9 novembre 2014
Un préambule s’impose : il fallait que tôt ou tard, ça se dise ! Dépendamment de qui est assis devant nous, la structure du parterre de la salle Wilfrid-Pelletier de la Places des Arts peut parfois causer des inconvénients lorsque des spectateurs physiquement imposants nous évitent de voir convenablement la scène, ou du moins rendent cet aspect essentiel de l’expérience, difficile à satisfaire. Et lorsqu’il est question de faire une critique, il faut composer avec la concentration qui s’impose de soi et dans le même temps avec le malaise que cette situation inconfortable inflige. Cette réserve étant exprimée, revenons au Barbier de Séville.
De plus en plus on s’aperçoit que pour épater le grand public, il est nécessaire de rendre les opéras spectaculaires ; et lorsqu’il s’agit de comédies, les responsables du spetacle se sentent de plus en plus obligés à pousser la caricature jusqu’à l’extrême, au détriment d’une certaine crédibilité, voire même sensibilité.
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