10 novembre 2018
Erik Anderson
Au tout dernier Festival des films du monde dont les vraies victimes des médias et des décrocheurs ont été les cinéastes eux-mêmes et non pas l’administration déficiente (malgré une très bonne programmation), le film-fleuve d’Erik Anderson a reçu le Prix Norman McLaren du meilleur film étudiant canadien.
On m’avait donné comme mission la tâche de visionner de nouveau avec le public la version originale de trois heures et cinquante-trois minutes de My Thesis Film… pour, d’une part, m’assurer du bien fondé de mon choix, et ensuite mener un Q & R avec presque une moitié de salle remplie. Bizarrement, aucune longueur dans ce film, mais une production qui méritait haut la main de se situer parmi les quelques films canadiens programmés dans la section « Cinéma canadien » (c’est de ma faute, car j’ai choisi moi-même le film et j’aurais dû faire quelque chose sur ce point, qui à tordre quelques bras). Anderson m’a pardonné et je ne me sens aujourd’hui que plus serein. Mais bon, de nos jours, dans le monde des festivals, des choses étranges se passent quel que soit le côté où on se place… et qu’on ne vienne pas me dire le contraire. Suite
9 novembre 2018
SYNOPSIS SUCCINCT
Fils du pasteur baptiste d’une petite ville de l’Arkansas, Jared Eamons éprouve secrètement une attirance pour les garçons, ce qui va à l’encontre des valeurs de sa famille et de son milieu de vie conservateur. Suite
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