2 novembre 2018
SYNOPSIS SUCCINCT
Le soir du grand bal de Noël, Clara, grâce à une clé héritée de sa défunte mère, franchit une porte magique et se retrouve dans un monde parallèle. Un brave officier, le capitaine Phillip Hoffman, l’accompagne dans son errance à travers les royaumes voisins.
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Sortie
Vendredi 2 novembre 2018
Version originale
anglais / Version française
Casse-Noisette et les quatre royaumes
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Réal.
Joe Johnston
Lasse Halström
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Genre : Conte – Origine : États-Unis
Année : 2015 – Durée : 1 h 40
Dist.
Buena Vista Canada
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Info. @
Cineplex
Classement
Tous publics
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MISE AUX POINTS
★★★★★ Exceptionnel. ★★★★ Très Bon. ★★★ Bon.
★★ Moyen. ★ Mauvais. 0 Nul
½ [Entre-deux-cotes]
Quatre œuvres audacieuses et bien rodées au programme, quatre approches de la danse moderne, des chorégraphes de l’heure, dont deux d’ici, deux d’Allemagne et un Grec. Le soir de Première, Eric Gauthier se présente, d’abord comme Québécois, ensuite comme maître de danse et Directeur de la Dance Company Theaterhaus Stuttgart, en Allemagne. Non pas un exil forcé, mais une suite logique d’événements lorsqu’on a du talent et le sens de la débrouille, sans négliger de souligner qu’en matière de danse, les échanges sont multiples et portent le plus souvent fruit.
Le Beating de Virginie Brunelle allie les musiques de Frantz Liszt, Jorge Bolet, Henryk Górecki & Kronos Quartet et de Max Richter, autant de différences de tons nourrissant les mouvements de danseurs. Le collectif surprend, le pas de deux ou plutôt devrions-nous dire « fusion à deux » favorise le couple homme-femme, femme-femme et homme-homme. Contours psychologiques, affectifs. Brunelle ne fait pas qu’exprimer la danse pour la danse, mais s’impose une lecture intellectuelle de son art en puisant aux sources de la pensée philosophique et celle qui parfois nous échappe, notre for intérieur. Admettons que la musique aide beaucoup le mouvement, l’équipe sentant chaque étape de la pièce musicale comme un battement du cœur qui se perpétue en laissant des traces.
Jonathan dos Santos, Sandra Bourdais, David Rodriguez dans Beating de Virginie Brunelle / © Regina Brocke
29 octobre 2018
L’énergie communicative de Marc Béland surprend, égratigne notre propre physicalité, sert de bouclier à nos corps endoloris. Il transpire sur scène, s’arrête quelques minutes pour respirer, manie le texte à rythmes différents comme un véritable magicien de la parole et de la tension dramatique. Suite
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