27 décembre 2018
25 décembre 2018
Le titre d’une chanson de Serge Gainsbourg pour exprimer les crises traversées par ces couples cultivés, des professionnels, à l’âge de tous les possibles; ces tentations qui peuvent parfois heurter, particulièrement lorsque l’homme et la femme sont confrontés à d’énormes problèmes d’éthique, de morale, de valeurs humaines, de fidélités et d’infidélités, de rancœur, de revanche et d’autres variations existentielles de la condition humaine.
Les clowns font la joie des petits et des grands restés petits ne serait-ce que le temps que dure le spectacle. Dépasser la réalité en rendant l’imaginaire roi, en transmettant des messages qui ne le sont pas. En faisant « tous le possibles » pour satisfaire un public assoiffé de rêves, de songes inatteignables, de poésie, d’équilibristes qui osent le tout pour le tout, de ceux et celles qui défient risquer le quotidien pour divertir et nous transmettre le message selon lequel tout est beau dans le meilleur des mondes possibles.
Pour l’incontournable Cirque du Soleil, reprise de Corteo (mot italien qui veut dire cortège en français) avec, en partie, une nouvelle équipe puisque les artistes de cirque ne durent pas de longues années, comme dans la danse. Axé principalement sur les enfants – quelle joie de les voir applaudir et se concentrer sur ce qui se passe sur scène.
La scène circassienne est au beau milieu, entourant les deux côtés-gradins qui se font face à face, comme s’ils communiquaient. En attendant, le Hula-Hoop séduit et devient nostalgique des années 1960. C’est excitant, ludique, jeune et charmant. La roue Cyr, comme toujours se multiplie en nombre et offre des moments de pure virtuosité. © Cirque du Soleil Suite
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