17 janvier 2019
| PRIMEUR |
Semaine 03
Du 18 au 24 janvier 2019
RÉSUMÉ SUCCINCT
Une cinéaste vient de perdre l’être qu’elle aimait le plus au monde. Souhaitant mettre en images la sensation de vide causée par cette séparation douloureuse, elle rassemble ses économies et se lance dans la production d’un film autobiographique auquel participeront certaines de ses connaissances. Suite
| PRIMEUR |
Semaine 03
Du 18 au 24 janvier 2019
RÉSUMÉ SUCCINCT
Au cours des années 1990, le clan « Kale kachia wale » est celui dont on parle le plus au Punjab. Et c’est dans ses temps troubles que Kaka Ji tombe amoureux de Deepi, belle jeune fille d’un autre village que le sien. Mais une situation délicate vient interrompre cet amour naissant.
Sortie
Vendredi 18 janvier 2019
FICHE TECHNIQUE
Réal.
MANDEEP BENIPAL
Origine(s)
Inde
Année : 2019 – Durée : 2 h 03
Genre(s)
Comédie romantique
Langue(s)
V.o. : pendjabi ; s.-t.a.
Son of Royal Sardar
Dist. @
n.d.
—
Classement
En attente
Info. @
Cineplex
| PRIMEUR |
Semaine 03
Du 18 au 24 janvier 2019
RÉSUMÉ SUCCINCT
Malek, un immigrant libanais, habite maintenant Montréal. L’adaptation est pour lui difficile et, après une tentative de suicide, il est astreint à des rencontres avec une psychologue.
Nous avions beaucoup aimé Marécages, passablement moins Ville Marie. Que dire alors de Malek? Tiré du roman Le cafard (pas lu), du canado-libanais Rawi Hage, le troisième long métrage de Guy Édoin ressemble plus à film étranger qu’à une production québécoise. Les personnages principaux, issus de l’immigration, ignorent le fait francophone, sauf dans cas de la psychologue, incarnée brillamment par Karine Vanasse. C’est là le grand problème du cinéma fait au Québec, et particulièrement lorsqu’il se passe de nos jours, à Montréal. Il y a eu et encore existent ce qu’on appelle « les deux solitudes ». Il faudrait plutôt dire « les nombreuses solitudes ».
Toujours est-il que d’aucuns peuvent ressentir une sensation de malaise quoique teinté d’espoirs incertains. En fait, chacun pour soi, chacun dans son coin. Ou du moins, pour l’instant.
Plus que tout malgré des séquences très bien réussies et une caméra qui filme les corps avec sensualité superbement exprimée, surtout lorsqu’il s’agit, même furtivement, de filmer Tewfik Jallab (très bon comédien) qui ne semble pas avoir de gêne à montrer ses formes les plus intimes, même si le moindrement habillé. On parle français international. La langue québécoise est quasi absente? Où sommes-nous? À Montréal (ville définitivement cinématographique) ou dans un ailleurs inventé. Dans un sens, l’intégration est-elle possible? Toujours est-il que d’aucuns peuvent ressentir une sensation de malaise quoique teinté d’espoirs incertains. En fait, chacun pour soi, chacun dans son coin. Ou du moins, pour l’instant.
Sortie
Vendredi 18 janvier 2019
FICHE TECHNIQUE
Réal.
GUY ÉDOIN
Origine(s)
Québec [Canada]
Année : 2018 – Durée : 1 h 35
Genre(s)
Drame
Langue(s)
V.o. : arabe, français ; s.-t.f.
Malek
Dist. @
Les Films Séville
—
Classement
Interdit aux moins de 13 ans
Info. @
Cinéma Beaubien
—
MISE AUX POINTS
★★★★★ Exceptionnel. ★★★★ Très Bon. ★★★ Bon.
★★ Moyen. ★ Mauvais. 0 Nul.
½ [Entre-deux-cotes]
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