3 juillet 2014
En quelques mots
Texte : Patricia Robin
Cote : ★★★
Dans la foulée des gros canons américains envahissant les écrans pour l’été avec force effets, vedettes et musique tonitruante se glisse un gentil film français aux couleurs surannées et au propos rafraîchissants. Le réalisateur Laurent Tirard retrouve ses personnages et, cette fois, les emmène à la mer, accompagnés de Mémé. Il ne se gêne pas pour saluer au passage le grand Jacques Tati et Les Vacances de Monsieur Hulot tant par les portraits de vacanciers typiques des années 60 que par son montage répétitif et même par quelques plans cadrés à l’identique.
En quelques mots
Texte : Luc Chaput
Cote : ★★
À cette période de l’année, en contre-programmation, les majors et autres distributeurs en Amérique sortent des films qui pourraient intéresser des publics que la violence tonitruante horripile. Certains ont connu, lors des festivals de l’automne précédent, des réactions au mieux mitigées du public et de la critique et, par ce fait, n’ont pas participé à la course aux Oscars et autres prix plus ou moins prestigieux.
26 juin 2014
En quelques mots
Texte : Élie Castiel
Cote : ★★ 1/2
Le film de Scott Derickson, à qui l’on doit The Day the Earth Stood Still (2008), remake de la science-fiction sortie en 1951, reprend ici le thème de l’exorcisme après The Exorcism of Emily Rose (2005), plus réussi dans le genre.
[ AVENTURES ]
Origine :États-Unis – Année : 2013 – Durée : 1 h 31 – Réal. : Dave Greene – Int. : Teo Halm, Reese Hartwig, Astro, Ella Wahlestedt, Jason Gary-Stanford, Cassius Willis – Dist. / Contact : Séville | Horaires / Versions / Classement : Cineplex
En quelques mots
SANS COMMENTAIRES / Film non vu.
En quelques mots
Texte : Élie Castiel
Cote : ★★★
Tout en obéissant aux conventions des films bollywoodiens, Mohit Suri nous avait surpris avec son captivant Kalyug (2005), drame urbain qui abordait, entre autres, la fascination du sexe dans les grandes villes. Dans Ek Villain (The Villain), il aborde le thriller en se basant allègrement sur des exemples de giallo italiens.Sur ce point, Ritesh Desmukh (Humshakals) nous livre une performance hors du commun dans un rôle atypique. Le film parle de l’érosion de l’âme, de la culpabilité, de la vengeance et de la rédemption.
En quelques mots
Texte : Luc Chaput
Cote : ★★ 1/2
Charles-Olivier Michaud est un cinéaste québécois qui tourne souvent à la fois des projets personnels comme Snow & Ashes, gagnant d’un prix à Slamdance, ou de commande, Sur le rythme. Ce long métrage, filmé en 2012 et présenté au festival abitibien la même année, ne sort finalement que cet été et ce sans scénariste au générique. Une recherche sur Internet donnera des pistes à ceux qui voudront bien élucider cette version québécoise d’un cas d’Alan Smithee, puisque cette dénomination hollywoodienne pour auteurs mécontents n’a pas son équivalent ici, y compris pour les scénaristes.
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Texte : Élie Castiel
Cote : ★★★ 1/2
Charmante surprise que cet Obvious Child qui suit parfaitement les codes du cinéma indie américain : production à petit budget, comédiens issus surtout de la télé, tournage dans une grand ville, parfaite utilisation de l’humour particulièrement juif new-yorkais, sincérité dans le propos. Il s’agit ici d’une prolongation du court éponyme de la cinéaste Gillian Robespierre tourné en 2009. Le sujet, fort original parce qu’intemporel, soulève toujours les passions parmi les trentenaires des pays occidentaux.
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