19 novembre 2014
EN QUELQUES MOTS
Texte : Élie Castiel
Cote : ★ 1/2
Après l’insuffisant et fauché That’s My Boy (2012), Sean Anders profite du succès de Horrible Bosses, du télévisuel Seth Gordon, pour concocter une deuxième partie moins réussi, même si au fond la première n’était pas aussi brillante. Le milieu des affaires est ici la cible principale, mais montré sous un jour où l’humour adolescent, facile et sans aucune originalité, sans parler des dialogues insignifiants, rendent l’ensemble pénible.
Genre : Chronique biographique | Origine : États-Unis / Grande-Bretagne / Irlande – Année : 2014 – Durée : 1 h 58 – Réal. : John Ridley – Int. : André Benjamin, Hayley Atwell, Imogen Poots, Andrew Buckley, Ruth Vega, Burn Gorman– Dist. / Contact : Séville | Horaires / Versions : Cinéma du Parc
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Visa GÉNÉRAL
EN QUELQUES MOTS
SANS COMMENTAIRES / Film non vu
EN QUELQUES MOTS
Texte : Élie Castiel
Cote : ★★★★
Pourquoi un titre aussi accueillant que Party Girl, alors qu’il résonne comme une invitation au fantasme, au plaisir de la chair et au rapport au corps ? Dans notre mémoire de cinéphile, on se souvient du magnifique Party Girl (Traquenard, 1958) de Nicholas Ry, avec une resplendissante Cyd Charisse, film noir d’une époque où le suggestif l’emportait sur le démonstratif qui, par ailleurs, aujourd’hui, finit non seulement par lasser, mais banalise l’intérêt même pour la chose. Néanmoins, le premier long métrage du trio complice Marie Amachoukeli, Claire Burger et Samuel Theis est le résultat de la somme de ses parties.
Genre : Animation | Origine : États-Unis – Année : 2014 – Durée : 1 h 32 – Réal. : Eric Darnell, Simon J. Smith – Voix (V.o.) : Benedict Cumberbatch, John Malkovich, Peter Stormare, Annet Mahendru, Ken Jeong, Andy Richter, Chris Miller – Dist. / Contact : Fox | Horaires / Versions : Cineplex
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Visa GÉNÉRAL
EN QUELQUES MOTS
SANS COMMENTAIRES / Film non vu
EN QUELQUES MOTS
Texte : Luc Chaput
Cote : ★★ 1/2
Comme la planète cinéma le sait depuis un certain temps, les producteurs de cette très populaire série basée sur la trilogie de romans de Suzanne Collins ont décidé de faire deux films de l’œuvre ultime. C’est donc à un travail sur la propagande, sur l’image et sur le brouillage des ondes auquel le réalisateur Francis Lawrence nous convie. Danny Strong, un des deux scénaristes-adaptateurs avec Peter Craig, avait déjà écrit un téléfilm politique, Recount.
EN QUELQUES MOTS
Texte : Charles-Henri Ramond
Cote : ★★★ 1/2
Du Tadjikistan à l’Argentine en passant par le Québec, la France et même l’Ouganda, La Muse errante est un voyage initiatique qui tente de cerner l’âme des artistes de la diaspora juive à travers l’expression riche et diversifiée de la musique Klezmer ou Yiddish. Tamás Wormser (Faces of the Hand, ONF, 1996) s’est donc promené aux quatre coins du monde pour nous faire partager les multiples formes de ces musiques, tout en mettant l’accent sur le sentiment de déracinement permanent qui habite ses sujets. En accordant toute son attention aux musiciens, le film dresse ainsi un portrait original de la judaïté à travers le monde.
Genre : Comédie sentimentale | Origine : Chine – Année : 2014 – Durée : 1 h 37 – Réal. : Ho-Cheung Pang – Int. : Xiaoming Huang, Yi-Lin Sie, Sonia Sui, Xun Zhou – Dist. / Contact : EyeSteelFilm | Horaires / Versions : Cineplex
CLASSIFICATION
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EN QUELQUES MOTS
SANS COMMENTAIRES / Film non vu
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