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Sonchiriya

28 février 2019

| PRIMEUR |
Semaine 09
Du 1er au 7 mars 2019

RÉSUMÉ SUCCINCT
Dans les années 1970, récit sur un clan de brigands dans les environs de la rivière Chambal, en Inde.

SANS
COMMENTAIRES

FICHE TECHNIQUE

Sortie
Vendredi 1er mars 2019

Réal.
ABHISHEK CHAUBEY

Origine(s)
Inde

Année : 2019 – Durée : 2 h 24

Genre(s)
Thriller

Langue(s)
V.o. : hindi ; s.-t.a.
Golden Bird / Sonchiraiya

Dist. @
Imtiaz Mastan


Classement
Interdit aux moins de 13 ans
[ Violence ]

Info. @
Cineplex

The Big Shrink

| PRIMEUR |
Semaine 09
Du 1er au 7 mars 2019

RÉSUMÉ SUCCINCT
Tout jeune encore, Vicktor rêvait de devenir inventeur, mais n’a jamais senti que son père l’appuyait. Arrivé aujourd’hui à l’âge adulte, il continue de se livrer à des recherches qui, espère-t-il, feront de lui le prochain Nikola Tesla.

SANS
COMMENTAIRES

FICHE TECHNIQUE

Sortie
Vendredi 1er mars 2019

Réal.
LEON (LIANG) DING

Genre(s)
Animation

Année : 2018 – Durée : 1 h 30

Langue(s)
V.o. : mandarin / Version française & anglaise
Boonie Bears: The Big Shrink
Boonie Bears : L’aventure minuscule
Xióng chūmò

Dist. @
Cinémas Guzzo – Les Films
[ Beijing Enlight Pictures ]

Classement
Tous publics

Info. @
Guzzo

Peggy Baker Dance Projects

CRITIQUE
DANSE

| Élie Castiel |

★★★

who we are in the dark

L’ENFER EST PAVÉ DE BONNES INTENTIONS

De quel enfer s’agit-il? Si l’on en juge par la présentation de Peggy Baker avant le spectacle, c’est l’obscurantisme de notre société, l’obscurité du monde, des notions philosophiques que nous pouvons changer, dépendamment de notre bon vouloir. Beau message d’espoir qui se traduit par une chorégraphie, who we are in the dark, qui valide son originalité grâce à la « mise en éclairages » de Marc Parent, puissante, fascinante, dépassant les limites de cette discipline technique, s’immisçant aux corps et à l’espace tel une météorite venue des cieux pour tenter d’éclairer le monde.

Et puis Sarah Neufeld, dont la présence sur scène et ses accords au violon donnent à l’ensemble une atmosphère inhabituelle, éthérée. Viennent ensuite les décors concrets qui évoquent les territoires autochtones, un côté primal des choses. Tout cet assemblage dans la mise en chorégraphie fonctionne à merveille.

David Nosworthy et Kate Holden > Crédit photo : © Jeremy Mimnagh

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