En quelques mots

Texte : Pascal Grenier
Cote : ★★★  1/2

Pour ceux qui croyaient Keanu Reeves en voie de disparition, ce dernier est de retour en pleine forme dans le film d’action John Wick. Avec ce véhicule conçu pour le mettre en valeur, ce dernier n’a rarement été aussi convaincant et obtient son meilleur rôle depuis le premier The Matrix, il s’agit ici du premier film du duo composé de David Leitch et Chad Stahelski. Après plus de vingt ans d’expérience comme doublures, réalisateurs de seconde équipe ou encore comme régleurs des cascades au sein de l’industrie hollywoodienne, les deux réalisateur dynamique en mettent plein la vue avec ce film d’action fort louable.

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LE FILM DE LA SEMAINE

En quelques mots

Texte : Élie Castiel
Cote : ★★★ 1/2

Plutôt que de se concentrer essentiellement sur les dessous de l’Affaire Le Roux qui a fait les manchettes dans l’Hexagone depuis le milieu des années 70, nonobstant les principaux faits qu’il reprend le plus fidèlement possible, André Téchiné est, au contraire, fasciné par les rapports qu’entretiennent les personnages de ce drame à la fois familial et financier. Habitué aux ellipses, aux peu-dits et aux chemins de traverse narratifs qui ont fait la marque de ces précédentes réalisations, le cinéaste qui, par ailleurs, n’est pas aussi intense et en forme qu’autrefois, propose quand même un intéressant récit sur la famille, l’égocentrisme, la passion amoureuse démesurée et l’incontrôlable appât de la réussite professionnelle , quel que soit le prix pour y arriver.

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En quelques mots

Texte : François D. Prud’homme
Cote : ★★

Ce n’est pourtant pas la première fois que Carole Laure nous présente une histoire avec de la danse ou du théâtre en filigrane, comme si elle-même restait à chaque fois un peu sur sa faim quant à l’intention artistique qu’elle avait au départ en réalisant chacun de ses films. Pourtant, les séquences chorégraphiées sont filmées de façon intéressante, voire originale, mais elles restent malgré tout moins bouleversantes que les scènes de danse qu’elle nous avait offertes dans CQ2 (2004).

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En quelques mots

Texte : Élie Castiel
Cote : ★★ 1/2

L’expérience accumulée par Stiles White dans le domaine des effets spéciaux sur plusieurs productions a sûrement contribué au caractère visuel du film, avouons-le, fort réussi, et inspiré d’un jeu Hasbro très populaire. Mais ce qui frappe essentiellement dans Ouija se révèle l’approche économe dans la mise en scène. Aucune scène inutile, aucune parole redondante, nulle sensation d’angoisse gratuite.

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Texte : Maxime Labrecque
Cote : ★★  1/2

Le premier long métrage du réalisateur et scénariste Theodore Melfi met en scène Vincent (Murray), misanthrope négligé et égoïste, qui devient l’improbable babysitter de son jeune voisin de 12 ans. Sans trop de surprise, les deux se lient d’amitié et on se rend compte qu’au fond, Vincent est un bon type. Un saint, peut-être même ? Chose certaine, outre son titre ostentatoire, le film sait tirer profit des vertus théologales. Exit Bernard Émond.

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Sortie : Vendredi 24 octobre 2014
V.o. : anglais ; tagalog
S.-t.a. – Almost a Love Story

Genre : Drame familial | Origine : Philippines – Année : 2014 – Durée : 1 h 58 – Réal. : Chito S. Roño – Int. : John Lloyd Cruz, Gretchen Barretto, Sylvia Sanchez, Jessy Mendiola, Richard Gomez, Vincent de Jesus – Dist. / Contact : A-Z Films | Horaires / Versions / Classement : Cineplex

EN QUELQUES MOTS
SANS COMMENTAIRES / Film non vu

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Texte : Charles-Henri Ramond
Cote : ★★★  1/2

Elles s’appellent Megan, Hélène, Florence ou Jeannie. Quatre femmes de quatre générations différentes qui s’adonnent à la chasse au chevreuil, à l’ours, à l’orignal ou à la perdrix. Et elles ne sont pas les seules puisque plus de 10% des chasseurs au Québec sont des femmes. Partant de ce constat, Julie Lambert a décidé d’en apprendre plus sur ce phénomène lors de sa préparation de son premier long métrage Un film de chasse et de filles.
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