En salle

Home Again

21 mars 2013

Résumé
Quelques personnes déportées en Jamaïque connaissent diverses aventures qui bouleversent leur vie. Par un concours de circonstances, les routes de ces individus vont se croiser pour le meilleur et pour le pire.

En quelques mots
★★

Le réalisateur, entre autres, de Love, Sex and Eating the Bones (2003), plus connu pour ses nombreuses téléséries, signe ici un film sincère malgré ses quelques maladresses. Les trois récits mettant en scène des déportés de divers horizons se retrouvant à la Jamaïque, dont une mère ayant laissé ses enfants au Canada, reflètent une situation actuelle maintes fois abordée au petit écran. C’est ce qui explique sans doute l’approche du réalisateur, plus à l’aise avec la télévision qu’avec le cinéma. La fiction est ici au service d’une charge sociale à portée universelle et dont les conséquences sur les victimes se font encore sentir. Le parti pris et évident, mais on sent, de la part de Sutherland, une volonté de témoigner. Les enjeux dramatiques, aussi nombreux que complexes et disparates, s’inscrivent dans une réalité où la misère humaine oblige les individus à des comportements marginaux. Sur ce point, les comédiens s’en tirent avec tous les honneurs et c’est un plaisir de revoir CCH Pounder dans un rôle à la mesure de son talent. >> Élie Castiel

Sortie : vendredi 22 mars 2013
v.o. : anglais et jamaicain
s.-t.a.  – Home Again

DRAME | Origine : Canada – Année : 2012 – Durée : 1 h 44  – Réal. : Sudz Sutherland – Int. : Tatyana Ali, Liriq Bent, Stephan James, Fefe Dobson, Richard Chevolleau, Paul Campbell, CCH Pounder – Dist. / Contact : Séville | Horaires / Versions / Classement : Cineplex

MISE AUX POINTS
★★★★★ Exceptionnel. ★★★★ Remarquable. ★★★ Très bon. ★★ Bon. Moyen. Mauvais. ☆☆ Nul … et aussi 1/2 — LES COTES REFLÈTENT UNIQUEMENT L’AVIS DES SIGNATAIRES.

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